La « gonflette » désigne communément les personnes présentant des muscles développés comme s’ils avaient été gonflés à l’air, mais également des personnes avec de gros muscles et peu de force. Afin de comprendre comment gonfle un muscle voici les différentes adaptations des muscles à un entrainement :
- l’hypertrophie vasculaire : correspond à une augmentation de l’afflux sanguin en zones localisées (congestion). Elle permet d'augmenter la concentration en myoglobine ainsi que le nombre et la taille des mitochondries, ce qui peut augmenter le volume du liquide sarcoplasmique. C’est une des adaptations à l’entrainement en série longue (plus de 15 répétitions).
- l’hypertrophie sarcoplasmique : correspond à une augmentation du liquide intramusculaire (sarcoplasme), causée par l’augmentation des réserves de glycogène musculaire. La fibre musculaire est alors davantage remplie en glycogène, et prend donc plus de volume. Ce type d’hypertrophie caractérise une prise de volume musculaire sans prise de force, c’est l’hypertrophie « du bodybuilder ». Les séries de 8 à 15 répétitions de 60 à 75% du 1 RM avec moins de 3 minutes de repos permettent d’obtenir cette hypertrophie.
- l’hypertrophie myofibrillaire : c’est l’augmentation du matériel contractile (myofibrilles) en taille et en nombre. Elle s’obtient avec des intensités situées entre 75% et 85% de votre 1 RM. Il s’agit alors de prise de masse musculaire. Ici, les séries seront de 6 à 8 répétitions avec un repos supérieur ou égale à 3’.
- l’hypertrophie conjonctive : correspond au développement du tissu conjonctif (enveloppes musculaire et tendons). Ce dernier augmentera proportionnellement à l’augmentation de la taille muscle. L’amplitude du mouvement va permettre également de jouer sur l’hypertrophie plus en épaisseur ou en largeur du muscle.
- l’hypertrophie vasculaire : correspond à une augmentation de l’afflux sanguin en zones localisées (congestion). Elle permet d'augmenter la concentration en myoglobine ainsi que le nombre et la taille des mitochondries, ce qui peut augmenter le volume du liquide sarcoplasmique. C’est une des adaptations à l’entrainement en série longue (plus de 15 répétitions).
- l’hypertrophie sarcoplasmique : correspond à une augmentation du liquide intramusculaire (sarcoplasme), causée par l’augmentation des réserves de glycogène musculaire. La fibre musculaire est alors davantage remplie en glycogène, et prend donc plus de volume. Ce type d’hypertrophie caractérise une prise de volume musculaire sans prise de force, c’est l’hypertrophie « du bodybuilder ». Les séries de 8 à 15 répétitions de 60 à 75% du 1 RM avec moins de 3 minutes de repos permettent d’obtenir cette hypertrophie.
- l’hypertrophie myofibrillaire : c’est l’augmentation du matériel contractile (myofibrilles) en taille et en nombre. Elle s’obtient avec des intensités situées entre 75% et 85% de votre 1 RM. Il s’agit alors de prise de masse musculaire. Ici, les séries seront de 6 à 8 répétitions avec un repos supérieur ou égale à 3’.
- l’hypertrophie conjonctive : correspond au développement du tissu conjonctif (enveloppes musculaire et tendons). Ce dernier augmentera proportionnellement à l’augmentation de la taille muscle. L’amplitude du mouvement va permettre également de jouer sur l’hypertrophie plus en épaisseur ou en largeur du muscle.
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